Augmentation de Québécois qui désirent devenir propriétaires
La pandémie de la Covid-19 a apporté son lot d’incertitude et de questionnements dans la pensée de la majorité des Québécois. Une chose est sûre, le marché immobilier, lui, demeure fort et en santé. Suite à cette situation, il y a plusieurs changements dans notre quotidien comme le télé-travail, limiter les déplacements entre régions et aussi limiter nos rencontres avec les gens.
Avec tous ces changements, le désir des Québécois de devenir propriétaire est maintenant très élevé. Depuis la reprise immobilière, c’est un vrai casse-tête pour les acheteurs. Ceux-ci ainsi que les propriétaires actuels ont réalisé qu’ils devront travailler de la maison pour un petit bout de temps doivent donc rendre leur milieu de travail plus grand, plus confortable. Une plus grande majorité des travailleurs n’ont pas été affectés au niveau de leurs emplois. Résultat, les acheteurs qui devaient acheter sont encore disponible et les propriétaires qui travaillent de la maison doivent agrandir pour plus de confort et de tranquillité. Donc, des potentiels acheteurs de plus sur le marché.
Cependant, il y a toujours deux côtés à une médaille. Du côté vendeur, la réflexion ne va pas dans le même sens. C’est plutôt l’incertitude qui plane. La pandémie de la Covid-19 a rendu les vendeurs qui n’ont pas été affectés dans leur travail confortable avec leur dette hypothécaire. Résultat, projet de vente repousser et les vendeurs qui étaient sur le marché se sont retirés. Ce phénomène a accentué l’écart entre les propriétés disponibles sur le marché et le grand nombre d’acheteur.
En résumé, le marché immobilier est toujours aussi fumant que les prédictions des experts pour l’année 2020. Certes, il y a eu un ralentissement du mois de mars au début mai mais, les mois suivants ont été à la hauteur des attentes. Les vendeurs n’hésitez plus et communiquez avec votre courtier pour une mise en marché optimale afin d’atteindre vos projets immobiliers selon vos besoins.
Source: https://www.conseiller.ca/nouvelles/economie/le-desir-de-maison-en-forte-progression/